Gate of Valor
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[ Intro ] Like a Moth The Flame [ Contenu Vulgaire]
 :: Royaume des Humains :: Capitale Haedleigh :: Habitation

Akiza Hainamida

Messages : 1281
Date d'inscription : 17/11/2016

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Akiza Hainamida
Princesse Infernale
Mer 26 Avr - 20:03



Like a Moth To The Flame
Burn, Honey, Burn! ❤




*C'est étrangement, depuis que je suis sorti du brouillard, j'ai comme l'impression que je vis à travers les yeux de quelqu'un. Pourquoi suis-je un bébé ? Étrange. Pourtant, je n'ai aucun contrôle sur mes faits et gestes. Peut-être que je n'ai aucune conscience de se qui se passe... Oh, mais qu'elle belle chevelure! Mais qu'est-ce que je raconte! Si je n'aurais pas de conscience, je ne pourrais même pas penser à cela! Alors qu'est-ce qui se passe ? Ce sont mes yeux cela ? Jaune brûlé et ses cheveux rouge cramoisie ? Jolie, je vais m'y faire. En tout cas, je n'ai pas trop le choix... woooh, où vas-tu ? Je ne n'avais pas eu le temps de me regarder. Et qu'est-ce que arrivera si je sors sans être préparée ? La première impression est toujours la plus importante! Qu'est-ce que ce lieu ? Une salle de séjour ? C'est ma mère ? Je me rappelle de mon ancienne, intentionnée, jusqu'à temps que je mettre terme à ses soupires. C'est une nouvelle chance qu'on m'offre ? Pourquoi tu me prends, no! no! Je veux marcher, enfin, si je le pouvais... Je suis consciente, mais je n'ai aucun contrôle!* -Tu as soif, Akiza ? *Hein! C'est mon nom ? Étrange, Je vais devoir m'y adapter, je n'ai d'autre choix. Malgré qu'il ne me plait guère. On ne peut choisir notre nom, tout comme nos parent et notre sexe... Hein! Ça devient de plus en plus bizarre! Non! Je ne veux pas boire ça! Secoue la tête, secoue la tête! En le pensant fort peut-être que je pourrais bouger! Remet ton sein dans ton soutien-gorge! C'est un ordre! Non,non!...*

*Quand je me vois dans le miroir, je me dis : Wow! quelle jolie gamine! Mignonne, elle sera une jeune femme qui fera craquer les garçons. Je pourrais les envoyer promener. Je ne comprend seulement pas pourquoi j'ai toujours conscience, mais je n'ai pas le contrôle de mon corps. Je commence vraiment à paniquer! Je ne comprend pas, je n'ai jamais rien lu à ce sujet, moi, sorcière, je suis sensée tout savoir! J'ai toujours raison! Mes mots étaient absolus. Ou je ne savais seulement qu'une telle péripétie pouvait exister... Je grandis dans mon ombre. Ce n'est pas l'amour de mes parents qui me manque. Et ce nom : Akiza commence à me plaire. Je ne suis pas capable de trouver ce qui cloche pourtant. J'ai des jouets, j'y joue très souvent. Le seul truc au passage qui a retenu mon attention est un collier avec un pentagramme comme pendentif. Que le mien, d'antan. Jadis, j'étais reine de toute chose. Et une reine n'est pas dans l'obligation de voir une mère changer ma couche! J'essaie de détourner les yeux en vain alors que quand je dors, je peux toujours penser, seule, dans les ténèbres. Je ne sais pas si ça vous fais cela, mais croyez-moi, avoir pleinement conscience lors de notre sommeil c'est vraiment flippant! Vous vous demanderez si vous n'êtes pas sur le point de virer complètement timbré ; ce que je me demande sans cesse si je ne suis pas victime d'une psychose temporal ainsi que des terreurs nocturne. Vous voulez vivre une bonne peur ? Parfois, oui, je vois mes propres cauchemars et cela devient chiant quand c'est toujours les mêmes régulièrement. Je pense que je ne peux même pas dormir en paix une seule nuit avec une deuxième d'affilé... Je suis condamnée... À ne pas dormir paisiblement.*

* Grandissant, l'école, je me trouve de plus en plus mignonne. Le temps est long bien sûr. Surtout qu'après près de 6 ans à seulement être spectatrice de sa propre vie, je commence à me lasser. J'ai encore plus de question depuis que j'ai appris à parler. Je n'ai aucun contrôle de mes dires et parfois je suis en désaccord avec se que je dis. Parfois, totalement invraisemblable, je me décourage moi-même sachant que je suis parfois une parfaite idiote. Je comprend la curiosité d'un bambin, mais là... De plus, l'école c'est affreusement chiant. Je me fais chier à apprendre ces notions. Surtout que la plupart je les ai déjà après. Merde! C'est ma première année! J'ai déjà appris ceci! Peuvent-ils me donner quelque chose se plus difficile comme les modèles algébrique mixée avec  (pitagar)? Quelque chose que va me faire sentir intelligente ; ou totalement idiote si je ne comprend pas. Surtout ces dictées ennuyeux qui me donner envie de m'ouvrir les veines. Je l'ai déjà fait et je le referais si nécessaire, mais comme je n'ai aucun contrôle de mes faits, on va s'en passer. Rien bat ne peut battre "l'éducation physique" je ne connaissais pas cela, mais je dois avouer que je suis plutôt douée. Ces petits gamins devraient aller pleurer chez leurs mamans, mauviette. Je l'ai dis, mes mots sont absolus. Ne vous mettes pas à travers de mon chemin! Après quelques heures interminable, les cours sont terminés, enfin, je peux m'asseoir... Ce que je fais déjà... Spirituellement. Maintenant ma mère que me pose mille et une question sur ma première journée d'école. Mais... Qu'est ce que je  raconte ? En éducation physique  j'ai planté tout ces gamins! God damnit...*

* Maintenant 10 ans toujours dans le silence total à ne jamais pouvoir avoir le moindre contrôle. Tout ceci devient vraiment chiant et pénible. Ai-je fais pour mériter cela! On dirait que je suis spectatrice de ma vie. J'amuse à des jeu que je hais réellement telle les jeux de mémoire, moi qui n'a aucune foutu patience, et des jeux de cartes sur table. Des jeux plus enfantins que d'autre. Je m'emmerde horriblement. Et quand les journée sont plus tranquille, j'écoute des dessins animés devant une boite qui projette des images. Ce n'est vraiment pas mon genre, pourquoi j'écoute cela ? Y a-t-il pas des histoires d'horreurs ou encore des trucs plus gore ? J'adore les histoire sinistre qui font peur... aah, ceci me manque... J'aimerais bien prendre cette engin qui sert à changer ces dessins animés. Depuis tout à l'heure je le fait sans que j'en sois consentante. Pour le moment, tout ce que j'ai trouvé d'intéressant, et ça duré un court instant, j'ai vu un jeu de cartes tarot. Ça! c'est intéressant. Si au moins je pouvais trouver un moyen de me le procurer. D'ailleurs, avoir le total contrôle de mon corps aiderait aussi. Bon... où je vais maintenant ? C'est un mystère à chaque fois que mes pieds décident d'aller dans tel ou tel direction... Un jour je risque de faire face à un ours et ne rien pouvoir faire... Ah la la... J'ai hâte de savoir se qui m'arrive...Akiza, hein ?*


Bruit assourdissant alertant le petit matin, il était maintenant 7 heures. Le soleil se levait doucement dévoilant ses majestueux rayons, radieux. Les oiseaux chantaient, le voiture brisaient leurs mélodies. Quelle bande de chauffeur abruti! Un oreiller cramponné sur la tête, de long cheveux écarlate. La cacophonie n'allait maintenir sa mauvaise humeur bien longtemps, elle l'aidait plutôt à perdre sa bonne humeur tôt en matinée. Le cadran ne cessait pas, il ne semblait pas vouloir arrêter. Le snooze ne servirait à rien de toute façon. Sa main bougeant à la tâtons cherchant désespérément comment fermer le clapait à cet machine infernal. Tout les matins, tout les foutu matins! ce cadran turbulent troublait le sommeil de la jeune femme. À vrai dire, le cadran l'avertissait que c'était bientôt l'heure de ses cours. L'avenir appartient à ceux qui se lève tôt. Et cela n'était pas le cas pour cette jeune femme, paresseuse. Sa main atteignit finalement le bouton " off " de son réveille matin. Il se tut d'un coup sec.

L'oreiller déménagea et tomba au sol. Cheveux en bataille et les yeux complètement fatigué de l'adolescente montrait qu'elle n'avait passée une nuit des plus radieuse. Cernée, elle ressemblait à une véritable morte-vivante. Un grand soupir, elle se leva pour affronter la journée et elle allait encore une fois sûrement perdre. Ses pas fragiles, cette jeune fille se dirigeait devant son miroir en donnant l'impression qu'elle allait tomber à tout moment. À ce point, ses pas frêles semblait inquiétant. Son regard croise le regard de son reflet, son teint pâle ainsi que ses cernes lui faisaient honte, avait-elle le choix ? Avait-elle décidée de vivre des cauchemars sans cesse sans arrêt nuit après nuit ? Doutons, personne ne veut vivre cela. Sa main faible se glissa sur son épaule. Sa chemise de nuit tomba au sol. Il était maintenant l'heure de s'habiller pour vivre une autre journée infernal. Sa brassière enfilé et autre sous-vêtements, ensuite de sa chemise d'école, sa jupe, son uniforme scolaire quoi. Ensuite, l'adolescente prit maladroitement sa brosse, mais l'échappa au sol, se pencha pour la ramasser et se repositionna. Si affaiblit... Elle brossa ses long cheveux rouge écarlate. Ses doigts trempèrent dans son fond-teint pour camoufler ses cernées pratiquement noir.

Lentement, elle leva la tête. Doucement, elle se perdit dans le regard de son reflet. Les Iris jaune brûlé de son reflet l'hypnotisait. C'était pratiquement une sombre obsession. Elle s'approcha pour tâter le miroir du bout de ses doigts. Curieuse, la jeune femme pencha la tête. Comme un miroir reflet l'opposé, la tête reflété pencha de l'autre côté. Elle repositionna ensuite sa tête. Ses doigts glissèrent lentement, mais sûrement. Le reflet se mit soudainement à sourire. L'adolescente, choquée, recula d'un pas. Les Iris de la jeune femme reflété devinrent rouge tout d'un coup et haussa des sourcils. Un pincement au cœur de l'adolescente maintenant sous le choque, sur le bord d'être complètement terrorisé et à la limite paniquée. Elle se retourna rapidement, personne. Son regard retourna ensuite vers le miroir. Le reflet de la jeune femme lichait maintenant ses lèvres. Son coeur commençait à battre de plus en plus rapidement. La jeune terrorisée cramponna sa tête en fermant les yeux, grimaça. Secouant maintenant sa tête, elle ouvrit les yeux. Son reflet copiait à nouveau ses mouvements. Probablement un rêve éveillé se disait-elle...

Son cœur battait toujours à la chamade. La vision la plus atroce se trouvait devant elle. Était-ce son miroir qui était démoniaque ? Elle en avait aucune maudite idée, mais elle n'attendit pas que cet événement se produise une deuxième fois pour partir de sa chambre. Même fatiguée, l'adolescente descendit les escaliers quand même assez rapidement pour rejoindre la salle de séjour. Le salon baignait dans les rayons du soleil. Ça faisait changement de sa sombre chambre. La jeune femme se rendit ensuite dans la cuisine pour préparer son petit déjeuner. Ce repas n'était pas conseiller par quiconque de le manquer. C'était le repas le plus important de la journée, malheureusement. Elle n'avait jamais faim le petit matin, de plus qu'elle avait cette frousse à chaque jour. Des pas approchaient. Toujours aussi fatigué, la demoiselle commençait à trembler. Toujours aussi normal, comme à son habitude. Les bruits de pas approchaient encore de plus en plus. Les sons ne jouaient pas les timides. L'adolescente commençait à avoir des sueurs froide. La pour du frigo se ferma soudainement, elle fit un sursaut.

-Ça va, Akiza ?

C'était sa mère, qui comment à son habitude, s’inquiétait toujours pour sa jeune fille. Comme tout mère, le bien-être de son enfant était d'un primordiale sans égale, inéluctable. Il était inconcevable d'imaginer une mère qui se foutait ainsi de son enfant, mais ce n'était pas le cas de sa mère. Le seul pépin était son beau-père. Le saoulons de première qui devrait être décerné comme le roi des connard. Un véritable lâche bon à rien qui osait lever ses mains sur sa mère. Elle s'inquiétait surtout sur son teint pâle. Ses terreurs nocturne avait recommencer.

- Oui, Je vais bien, maman...

- Tu es sûr, dit-elle inquiète, tu as le teint pâle. Tu ressembles à une morte-vivante. Est-ce-que les gens à l'école ont recommencer à faire des sciènes ?

- Mais non!... Ce n'est pas ça!

Akiza s'assit sur l'une des chaises, complètement au hasard, comme si elle ne se préoccupait pas des places habituels. Son menton se déposa dans le creux de la paume de sa main pour regarder dehors. Heureusement que ses cernes étaient camouflées par le maquillage, mais cette l'adolescente n'était pas comme les autres ( hormis les maquillages sombres ) le maquillages n'était vraiment pas son truc. En fait, elle détestait se maquiller, mais elle n'avait pas le choix. Si un enseignant voyait ses cernes, ce dernier allait lui poser mille et une question interminable comme : « est-ce que tu dors bien à la maison ? » Même si elle avait bientôt 18 ans, la protection de l'enfance pouvait intervenir jusqu'à 18 ans. Deux mois, deux mois et ils ne pourront plus rien faire... Le problème était qu'elle avait 2 ans de retard l'école à cause de ses troubles sévère du sommeil...

- Tu sais que tu peux tout me dire, Akiza.

- Aaah! Lâche-moi veux-tu ?

- Ça à recommencer n'est-ce pas ? Tu es encore victime de terreurs nocturnes.

Akiza s'empressa de terminer de manger pour éviter cet interrogatoire aussi ennuyeux que l'époque romaine. Après avoir avaler sa dernière bouchée, elle se leva pour ensuite aller au levier, nettoyer l'assiette et le déposer à l'endroit approprié à cette effet. Sans dire un mot, la jeune femme changea de pièce pour gagner celle adjacent. Son sac d'école qui ressemblait à un énorme sac à main se trouvait au sol, comme s'il attendait Akiza. Crayon et notes de cours, cahier et un million de paperasses, l'étudiante devait rattraper son retard. Au moins, elle avait une excuse à dire au cas où qu'elle se ferait intercepter « J'étudie beaucoup, parfois jusqu'aux petites heures du matin... » Ce n'était pas bête comme idée. En plus que ses cernes pourraient aussi éloigner les garçons qui souhaitaient trop s'approcher. Cet Halloween, Akiza ne s'était aucunement maquiller, ou plutôt, sous ses yeux. Son costume avait été très réaliste. Elle s'était déguisée à Samara, longue robe blanche, cheveux noir. Étrangement, le premier prix avait été remporter par elle. Akiza prit son sac à dos pour ensuite ouvrir la porte pour gagner l’extérieur. Son établissement scolaire se trouvait à environs 20 minutes de marche.

Par chance... Le mois de Février était passé depuis quelques mois, Juin arrivait à grand pas, dont les examens finaux. Mais ce maudit mois de février rendait les nuits d'Akiza un véritable enfer que même ses cauchemars faisaient des cauchemars. Ses rêves n'avait aucun sens et n'était aucunement rationnel. Des morts, des corps brûler, des flammes et même des cris. Des rêves écœurants que même quand elle se réveillait elle vomissait. Ses rêves l'hantaient tel qu'elle en avait la nausée juste avec l'odeur et ce, pendant un foutu mois de vingt-huit long jours. Est-ce qu'elle croyait en dieu ? Aucunement, pourquoi dieu laisserait-il une jeune femme souffrir ainsi pendant des années. Jamais elle n'avait pu se reposer comme quelqu'un de totalement normal. Akiza avait déjà giflée quelqu'un qui avait fait la fête pendant tout une nuit et se vantait d'avoir été saoul mort ( Se qui rappelait son beau-père) disons qu'elle lui avait fait la leçon par la suite de cet événement outrageux. Ce mec était parti en riait en disant « Calme-toi la timbrée avant que je m'occupe de ton petit cul! » En plus que ce mec était un véritable douch bag. En fait, se n'était vraiment la remarque sur sa psychologie ou encore ses fesses qui l'avait insultée , mais que ce garçon ,avec la mentalité d'un adolescent de 15 ans, n'avait pas dormit!

Vingt minutes pouvait sembler long, mais quand l'on tombe dans nos pensées, tout semble très vite. Comme si un trou inter-temporel s'ouvrait et qu'on y tombait par la suite. Pareil pour Akiza, hormis sa honte d'être 2 ans en retard à l'école, elle pensait surtout à son passé où elle trouvait qu'elle n'avait pas un total contrôle de ses faits et gestes. Comme si une force luttait pour vivre aussi. Comme si une voix voulait aussi être à ses côtés. Peut-être un ange gardien ? Nah, si Akiza possédait un ange gardien, se dernier devait un véritable drogué ou what the fuck are you doing ? L'ange gardien ne la protégeait aucunement. Peut-être qu'Akiza devait le congédier se s'arranger sans lui. De tout façon, sa vie ne pouvait pas vraiment être bien pire... Anyway, Akiza ne croyait pas en dieu. Cela faisait trop longtemps qu'elle ne ressentait pas sa lumière ni sa chaleur, donc il l'avait probablement abandonné. D'ailleurs, Akiza s'en foutait éperdument, quand elle regardait la lumière, celle-ci lui brûlait les yeux ; alors que quand elle regardait la noirceur, celle-ci lui faisait un grand bien. Un sentiment de plénitude plus qu'à son apogée. La véritable cure contre le mal de tête et le mal d'yeux était le repos, donc la noirceur. Le soleil n'était qu'une ampoule géante pour elle.

Finalement arrivée à son école. Plus que que trois semaine, ensuite elle pourra commencer son emploie d'été. Elle possédait cette emploie depuis qu'elle avait 15 ans. Ses tâches étaient simple, rien de vraiment compliquée, elle aidait un fleuriste. Arroser les plantes et fleurs, la vente, Akiza avait trouver un côté chez elle de vendeuse assez surprenant. La cloche se mit à sonner, super! encore une fois en retard, l'adolescente n'avait même pas une le temps d'arriver à une casier pour prendre ses affaires... Ange gardien que faisait-tu ? Ah oui, c'est vrai... Tu es congédier, se disait-elle dans sa tête. Elle devait se rendre à l'évidence, c'était totalement de sa faute. Soin cadran avait beau être un trouble fête du sommeil, Akiza ne l'avait pas éteint à temps et aussi, ne s'était pas levée à temps. Sa préparation avait été aussi plus long. De plus, son miroir qui voulait lui donner sa petite chaire de poule quotidienne... Super! merci! Au moins, sa mère ne l'avait pas retardée. Oui, c'était sa mère, elle s'inquiète pour elle et c'est justement pour cela qu'Akiza n'allait jamais Ô grand jamais lui mettre quoi que ce soit sur son dos. Ô, Psyche! jamais. C'était quand même pas de sa faute si elle faisait des terreurs nocturnes, qu'elle n'avait pleinement contrôle de ses pensées, faits et gestes. Totalement normal, Akiza était une jeune femme de tout ce qui était de plus normal.

Ses cahiers en main, son casier se ferma d'un grand fracas. Akiza se rendit ensuite vers sa classe. Quelle journée, son cerveau allait déjà être mit à rude épreuve avec ces notions de mathématique de fin d'année. Elle entra dans la classe, tout le monde se retourna comme si elle était une extra-terrestre. Ses yeux se détournèrent de ces regards reptilien. Ces regards de prédateurs, de quoi mettre n'importe qui dans mal à l'aise. Inconfortable, la jeune femme serra ses cahiers contre sa poitrine en se rendant subtilement vers sa place assignée. Elle déposa ses bouquins. Enfin! Ces cahiers pèsent une tonne, se disait-elle dans sa tête. Gomme à effacer et crayon, fin près à se creuser la tête. Akiza devait se donner à 100% pour prendre des notes de cours. C'était maintenant Akiza contre sa fatigue. Le professeur parlait, parlait. Expliquant chacune des notions avec une précision particulièrement proche de la perfection. Comprenait-elle ? Akiza avait un code de couleur pour les notions qu'elle comprenait : Vert quand elle comprenait ; jaune quand c'était encore flou ; rose quand elle ne comprenait pas du tout, et son cahier... Disons qu'il ne se vendait pas avec des pages rose. Son manque de sommeil nuisait à sa concentration. Parfois même, elle pouvait manquer quelques minutes de cours, car elle s'endormait. Une autre ligne rose, rose, jaune, rose, vert, rose et rose. Une chance qu'Akiza aimait le rose, car son cahier en était remplit. Ses yeux lourds, elle sommeillait... Sa vision devenait trouble.

* Ah ok! Je suis trop forte en mathématique! Après avoir attendue près de 15 ans pour me creuser la tête. J'ai trouvée. Je sais comment trouver la valeur algébrique. Pourquoi tout devient si soudainement flou. Ma vue! Ma vue! Qu'est-ce que qui se passe? Hey oh! Quelqu'un... Je crois que je fais un malaise...le crayon roule. Si c'est bel et bien un crayon. Je ne vois pratiquement plus rien. Merde. J'en ai la nausée. Je pense que je vais dégueuler mon petit déjeuné...merde...*

Sa tête bougeait doucement dans toute les directions. Sa vue double, puis flou, double, puis flou, ça se voyait qu'elle résistait à sa fatigue. Son crayon roula jusqu'à temps quand qu'il tombe au sol. Ses mains se posèrent sur le pupitre. Akiza se leva toujours aussi étourdie. Elle avança d'un pas, ensuite d'un autre. Ses yeux devinrent vide alors qu'elle perdit conscience pour ensuite tomber au sol. Tout le monde se mirent à paniquer. Le professeur alla tout de suite la voit pour lui porter secours, c'était son travail après tout. Il mit sa main sur le front de son élève sachant maintenant que celle-ci faisait d'importante fièvre. L'enseignant prit la jeune femme en s'exclama qu'il devait l'amener à l'infirmerie. Quelques minutes plus tard, le professeur déposa Akiza sur un lit, s'assit et croisa ses doigts. Celui-ci baissa les yeux, songeur, il ne savait pas à quoi penser.  «Ça fait maintenant la quatrième fois depuis le mois de Mai... Que t'arrive-t-il, Akiza ? Beaucoup s'inquiète pour toi... » L'enseignant se leva en regardant une dernière fois sa jeune élève malade. Celui-ci lui promit de lui faire des copies de notes de cours, ce que n'importe quel enseignant ne ferait pas dans ces cas ci. Il retourna en classe. Du côté de la jeune malade, Akiza. Son front était bel et bien bouillant et aussi, sa respiration était faible. De quoi faire en flipper plus d'un. L'infirmière se devait de arriver. La jeune femme commençait à faire quelques petites grimaces montrant que son sommeil devenait inconfortable.

* Qu'est ce qui se passe ? Où suis-je? Encore dans le néant? Super! si au moins je pouvais continuer de prendre des notes. Hey oh! Lumière! Allume toi bordel! Si au moins je pouvais m'asseoir au lieu d'être couchée. Je sais, je sais, tout le monde voudraient être à ma place pour manquer les cours, mais croyez moi que ce n'est vraiment pas amusant. Ah la la... Hein ? C'est quoi ça? Encore! Encore ce foutu cauchemars! Merde que ça devient lassant! Même si cette scène me rappelle des choses. Une nostalgie étrange... Je devrais peut-être essayé de dormir moi aussi... Peut être que ça n'affectera pas les rêves.*

Ses yeux ouvrirent lentement, sa vision était encore flou, mais redevint rapidement normal. Elle se retourna de chaque côté, d'un côté un mur,  tandis que d'un  côté ; il y avait une personne qui semblait chercher quelque chose. Au moins, elle pouvait sentir en sécurité. Ses yeux redevinrent lourd encore une fois, mais cette fois-ci, elle luttait contre sa fatigue. Sa vision passait de flou à claire plusieurs fois. L'infirmière aida Akiza à s'asseoir et ensuite offrit un verre d'eau à cette dernière. L'adolescente avait dormie jusqu'à l'heure du dîner, il ne manquait seulement 10 min avant le retour en classe. Mais bon, ce n'était pas comme si Akiza prenait plus de temps pour manger. L'infirmière lui donna son accord, mais devait revenir si elle n'allait pas bien. Mais Akiza n'écoutait jamais ce judicieux conseil. Elle se rendit jusqu'à son casier pour y aller chercher ses affaires pour aller manger.

Son dîner en main, la jeune étudiante n'allait pas dans la cafétéria, mais allait manger dehors. C'était plus tranquille et vu le temps restant, elle ne sera pas trop dérange par d'autre étudiant. Une belle journée de fin de printemps. Il ne restait que trois semaine d'école ensuite les vacances d'été. Elle s'assit pour ensuite sortir son dîner de son sac. Rien de bien compliqué, Sandwich, sushi avec des légumes, seulement des trucs bon pour la santé. Elle faisait tout en son pouvoir pour avoir des vitamines pour bien dormir, mais cela ne donnaient pas les effets escomptés, malheureusement. Akiza devait se rendre à l'évidence, elle ne connaîtra sûrement jamais le sommeil réparateur escompté. La cloche se mit à sonner, mais par chance elle avait fini de manger. Parfois elle pouvait manger vite. Cette fois, elle ne sera pas en retard, se disait-elle. Fermant son sac pour ensuite se lever.  Elle remplaça sa jupe pour avec pour ensuite retourner en classe. Penchant cour : Histoire, malgré qu'Akiza n'était pas super dans cette matière.

L'étudiante marchait maintenant dans le couleur avec d'autre élèves. Beaucoup allait dans la même direction qu'elle, comme toujours. Ça se bousculait énormément que parfois certains la bousculait avec leurs épaules ou des fois ses cahiers tombaient. Près de sa classe, Akiza longeait le mur pour éviter de se faire trop bousculer. La jeune femme tourna à droite pour entrer dans sa classe où son cour en histoire allait commencer et alla savoir là où se trouvait sa place habituel. L'étudiante déposa ses cahier sur son pupitre, sorti tout se qu'elle allait avoir besoin pour ce cours. Akiza passa ses mains sur sa jupe pour s'asseoir. L'heure de se plonger le nez dans l'histoire avait finalement commencé. L'heure tant redouté, le cours qu'elle n'aimait guère. Akiza devait lire cinq pages avant que le professeur se mette à parler. Elle devait donc se dépêcher si elle ne voulait pas être en retard. Ses doigts prirent le bas de la page pour aller à la suite et attaquer la seconde. La lecture semblait interminable et complètement long. L'histoire ne l'intéressait pas, trop de stress et de dramas inutiles... Elle soupira, complètement découragée. En plus que son manque de sommeil ne l'aidait pas... Ses yeux plongèrent encore dans la lecture, elle devait se concentrer... Elle devait se concentrer... ELLE...DEVAIT...SE...CONCENTRER! Pour passer l'examen. Une autre page de terminé. Il ne restait que trois page. Aller! tu es capable! Se disait-elle. Ses iris bougeaient de gauche à droite, descendirent de à chaque lignes, une autre page de terminé. L'étudiante, malgré que déterminée, se frotta les yeux. Il ne restait qu'une seul page. Une seule, mais malheureusement, le professeur se mit à parler. Akiza soupira, découragée.

Ce cour interminable finalement terminé, Akiza ramassait ses affaires pour les mettre dans son sac. Elle mit la ganse sur son épaule, son sac contre sa hanche. Il ne restait qu'un cour. Après cette journée allait enfin se terminée. Son embarras devant toute la classe, ce mec qu'elle avait giflée, la remarque obscène qu'il lui avait laissé autant psychologiquement que physiquement sur ses fesses. Quel-foutu-longue-journée. Heureusement, l'école se devait donner une pause entre chaque cours. Aussi court soit-elle. Ce n'était qu'un petit quinze minutes, mais personne ne le refusaient. Quinze minutes à droite, quinze minutes à gauche, cela donnait en bout de ligne près d'une heure et demi de plus si ce n'était pas plus. Cela dit, n'importe quel être humain devait avoir une pause bien mérité, autant au travail qu'à l'école. L'énergie autant que mentale que physique se dépensait différemment. Akiza était l'une des personne que l'énergie mentale utilisée pour l'épuiser plus qu'une journée de travail, même si elle travaillait pour un fleuriste, qui lui était aussi photographe et elle posait parfois pour lui ( Espérant devenir mannequin, c'était un secret ) , une journée de dur labeur ne la fatiguait pas autant que les mathématiques. En bref, elle soupira en savourant cette pause tant mérité. Rien, non rien n'allait lui enlever ce bonheur sur cette pause. Elle ferma les yeux. Cela avait pour but de reposer ces derniers avant le prochain cour.

* Ah merde, enfin la pause. Je hais l'histoire. Dit-on qu'on apprend ceci à tout les étudiants. Avec les époques, j'ai constatée que les erreurs ne cessent de se répéter sans cesse. Foutu statistique, foutu prévention, personne n'écoutent jamais, c'est comme l'intimidation qui ne cessera jamais de génération en génération. Toujours prévenir, toujours prévenir, mais personne n'écoutent ? Ou se sont les enfants de demain qui ne sont pas sensibilisés? Ou la loi du temps qui fait répété chaque scénario? De même pour les accidents ainsi que de même pour l'histoire, le scénario déraille sans cesse à essayé de sensibiliser et informer. En bref ce n'est encore une répétition qui ne cessera de se répéter et qu'il y aura toujours quelqu'un moins informer que les autres pour les mêmes erreurs passés. Ce n'est que de la bullshit! À quoi bon lutter si nous avons tous un seul et même but qu'est notre propre AUTO-DESTRUCTION!!*

La cloche se mit à sonner, l'étudiant se ouvrit ses yeux en sursautant. Le moment d'attaquer le prochain et dernier cour venait d'arriver. L'heure du joyeux français. L'une des matière les plus forte d'Akiza. Au moins sa journée allait se terminer sur une bonne note, sans parler du jeu de mots. La foulait moins danse que pendant l'heure du dîner, la jeune femme alla en classe sans mal pour aller continuer son creusage de méninges. Vive le français, parfois. Si l'on oubliait nos différent, on pourrait se comprendre mutuellement. Pour une dernière fois dans cette journée, Akiza sortit ses cahiers. Sa matière où elle avait facilement 85% dans chaque examens. La nature lui avait donné ce talent. Comme si c'était la fin d'année, le dernier teste avant l'examen final était la production d'un texte. L'inspiration de la jeune écrivaine n'était pas en manque. Le syndrome de la page blanche ? Ils ne se connaissaient pas. Ni symptôme ni syndrome, dans ses productions, Akiza choisissait
toujours le thème de l'horreur. Le vrai talent ne venait pas de celui qui écrivait bien ou proche de la perfection, mais celui qui avait de l'imagination et qui maîtrisait le français assez aisément pour contourner les mises en situation pour le thème souhaité. C'était une sorte de philosophie personnelle de la jeune étudiante. Celui qui mijotait sans cesse dans l'imaginaire n'est guère qu'un piètre en mathématique, mais un génie en français. Cela ne faisait même pas 30 minutes que le cour avait commencé et Akiza écrivait maintenant sa  version au propre. Après quelque instants, elle termina son texte. Souhaitait-elle la lecture devant toute la classe ? Oui et non, mais Akiza n'avait pas peur de montrer se qu'il se pensait dans sa tête. Oui, elle était peut-être complètement timbrée, mais Akiza n'avait jamais fait de mal à personne. Quelque chose en elle s'intéressait à l'occultisme et cela ne voulait pas dire qu'elle était folle, Non! Préjugé de merde! L'être humain ne cesse de chercher des réponses. Qui sommes-nous pour imposer notre vision des choses, de la vie et des nos croyances à autrui. À moins que vous soyez dieux en personne, je ne vous écouterez pas! Nous cherchons nos réponses là où l'on pense les trouver et nul part ailleurs. Akiza déposa son crayon. Le thème de l'horreur titré: Vivre son propre cauchemars ou encore Welcome to my F*cking Nightmare. Elle se ressentait plus la fatigue. Peut-être qu'elle devrait ouvrir son coeur à un journal intime. Un petit copain ne lui ferait de mal non plus.

La fin des cours arriva. La cloche sonna signalant le départ des jeunes. Les étudiants se précipitèrent à la sorti comme si la cloche fut un coup de pistolet de départ de course. Tout le monde, sauf Akiza qui, elle prenait son temps. Il n'y avait pas le feu, pas encore, ni de stresses. Stresser pour entrer chez soi, elle ne pouvait pas imaginer le stresse occasionné par cette école dans leur pauvre petites tête. Cette pensée était cynique, la jeune étudiante avait peut-être méritée cette remarque de la part de cet adolescent. Comme quoi... Normalement elle ne pensait jamais à ce genre d'injure. Elle mit la ganse sur son épaule, son sac contre sa taille. Akiza était fin prête à partir. Marchant vers la porte pour gagner le couloir, ses yeux scrutèrent les environs et chaque côté. Entre en collision avec un parfait inconnu est tellement embarrassant, se disait-elle tout bas, au plus profond de son esprit. Comme ça, personne ne pourrait entendre l'un de ses plus fétiches fantasmes. Mais c'était un cliché trop vue et revue et quand cela arrive, souvent l'un des deux personnes perd les pédales. Akiza mijotait trop souvent dans sa tête. Alors qu'elle gagnait finalement la sortie de l'établissement, elle vit que le soleil n'était pas près de disparaître de l'horizon, une bonne chose. Marcher à la lumière du jour donnait un sentiment de sécurité à tout le monde, sans exception, même si cette personne X adore le noir à vendre son âme!

Une autre vingt minutes de marcher pour retourner chez elle. Son quotidien depuis tant d'années. En effet, même ses évanouissements en faisaient parti. L'odeur de la fin du printemps calmait l'étudiante. Non-loin se trouvait un pont où elle passait à chaque matin pour aller à son établissement scolaire et à chaque soir pour retourner chez elle. À chaque matin et soir, quand elle passait sur ce pont, ses yeux ne pouvaient pas résister à la tentation de regarder l'eau s'écouler, encore une fois, ce bruit la calmait aussi. Akiza se retourna, se pencha un peu pour s'appuyer sur les rampes du pont. L'étudiante apaisée pour l'une des rare fois observait l'eau frapper et se pourfendre contre les rochers. Le bruit si relaxant que ses yeux se fermaient peu à peu. Parfois elle se disait qu'elle devrait s'acheter un album de relaxation. Cela pourrait peut-être l'aider lors de ses nuits tumultueuses. Quelque respiration. Elle entendit des pas. Ces pas sourds que seul le silence pouvait laisser place. Akiza se retourna doucement, sûrement un passant qui empruntait le même chemin. C'est un monde libre, se disait-elle.

- Hey! La timbrée.

Encore ce mec. Qu'est-ce qu'il voulait cette fois ? Akiza ne buvait pas, ne fumait pas ni se droguait pas. Et voyant comment le comportement immature de ce garçon, il devait probablement en prendre de la bonne. Une généralité sans faille, malheureusement, mais parfois avec certaine événement... On avait guère le choix de généraliser. Ces jeunes... Le garçons de deux de ses amis approchait de l'étudiante.

- Qu'est ce que tu veux ? Je n'ai pas de temps à perdre avec toi...


- Du temps à perdre, Toi? Ah! Ne me fait pas rire. Tu n'es qu'une fille qui attend l'aide d'un homme pour te décoincer. Et cet homme, c'est moi.

Encore une qui prenait ses grands aires. En plus d'être arrogants, il avait un sur-estime de lui même si maladive, si cancéreuse. Mais à l'entendre parler ainsi, Akiza ne pouvait que s'inquiéter. Elle recula d'un pas, même si cela n'allait probablement rien changer. Ceux-ci avançaient et leurs pas semblaient si déterminé. Ils avaient fixés un but et Akiza ne savait pas c'était. Même si cet réponse lui en disait long. Indirectement, la jeune étudiante avait une petite idée de se qu'ils avaient derrière la tête... S'ils en possédaient une. Agir ainsi était bien l'oeuvre de fou, ou encore de comportements immatures. Elle recula encore d'un pas alors que son coeur battait de plus en plus vite.

- J'y ai beaucoup réfléchie. J'ai conclus que oui, je vais m'occuper de ton petit cul! Dit-il sinistrement qu'il empoigna l'uniforme de l'écolière.  

Akiza recula rapidement, mais fut stoppée par les deux autres garçon. Quel lâche! de s'en prendre à une jeune femme, surtout accompagnée de ses amis. Les compagnons du garçon ricanaient comme des diablotins sous l'emprise d'un démon, de plus qu'ils avaient immobilisés les bras de l'étudiante. Elle n'avait aucunement l'avantage. Tout n'était pas perdu, elle essayait quand même de se débattre espérant de leur faire peur. Ou encore, elle pensait qu'ils voulaient seulement lui faire peur. Il n'avait surement pas apprécié la gifle au visage et attendait des excuses. Ce n'était toujours pas une raison pour s'en prendre à une jeune femme seule en groupe! Encore une fois, Akiza se mouvait à gauche et à droite pour tenter de se dégager, mais encore en vain. Sa fatigue ne l'aidait aucunement. Comme toujours, sa fatigue était son pire ennemie. L'alpha du groupe s'approchait, déterminé. Ses pas semblait se démarquait tellement, qu'Akiza pouvait ressentir son côté cynisme. Levant ses yeux

- Je connais ton secret, Akiza, tu poses pour un photographe.

- C-comment tu le sais ?

- Comment ? C'est simple, une jeune fille canon qui commence du jour au lendemain un job d'assistante, surtout quand il s'agit de mon frère...

- ...!

- Il jure beaucoup trop sur le secret professionnel... J'ai dû remarquer moi-même, héhé! Ajouta-t-il d'un voix cynique.

- Tu n'es qu'un écœurant! Connard! Sale fils de...!

- Shh, shh! Chuchota ensuite en lui mettant son index sur les lèvres d'Akiza. Je te rappelle que je peux faire en sorte que tu perde ce job et aussi, dévoiler ce secret en plus de détruire ton rêve de mannequin.

Voyant la main du jeune homme s'approcher, comme un serpent s'approchant d'une souris, elle ferma les yeux. Détournant complètement l'ignoble personnage, Akiza serrait les dents de plus en plus fort. Les mains du jeune homme déboutonnèrent un bouton de la chemise scolaire de l'étudiant ; elle leva la tête, toujours détournée. Les mains du voyous descendirent pour aller au prochain bouton, celui-ci se retrouvera aussitôt déboutonné. Ensuite le prochain bouton, le troisième, dévoila le cleavage et une partie de son soutien-gorge. Ce type méritait un bon coup de pied entre les jambes. Elle l'avait tout de suite devinée, il était fier de la montrer, un bon coup sur sa fierté pour le faire redescendre, mais il utilisait le chantage pour arriver à ses fins, comme un lâche. La chemise à moitié déboutonnée, le cœur d'Akiza battait de plus en plus vite, elle commençait à avoir de plus en plus chaud, surement le stresse intense. Le dernier bouton lâcha son emprise, les deux moitiés de la chemise retombèrent, maintenant ouverte. L'étudiant complètement stressée ouvra les yeux le voyant fière. Les deux compagnons resserrèrent leurs étreintes en ramenant ses bras vers l'arrière pour s'assurer qu'elle ne puisse plus bouger. Maintenant que sa chemise était ouverte, même si cela l’écœurait, elle surveillait la main du jeune homme se glisser sous sa jupe. La prisonnière frémissait aux caresses sur sa cuisse de la part de ce voyou. Sentant maintenant sa main monter de manière perverse jusqu'à son postérieur. Elle se débattait encore plus violemment. La main entra dans son dessous et le fit tomber au sol. Comment rendre quelqu'un inconfortable, Akiza ne cessait pas son combat alors qu'elle sentait la main du jeune pervers vers son intimité. Celui-ci brisa le soutien-gorge d'Akiza. La main toujours en train de s'approcher de son intimité. Des ligaments rouges se dessiner dans ses iris. Sentant la main passer par dessus son pubis, celui-ci tentait de la stimuler. Les ligaments avait prit 50% de terrain. Les doigts contre ses lèvres ; ses yeux à 75% de ces ligaments, caressaient ; 90%, mouillait ; 99%, pénétrèrent son intimité. Rouge.

- Ah!

Sa tête pencher vers le sol, elle repoussa sans peine ni misère ces deux vauriens. La jeune femme leva doucement la tête pour regarder de ses intimidant iris rougeoyant, incandescent, le voyou. Il avait essayé et maintenant il allait payé. La main d'Akiza s'approchait lentement et doucement du collet de son jeune prédateur. Agrippé, elle le ramena vers lui. Elle n'avait que faire de son état actuel, à moitié nue ou complètement habillée, l'issue sera la même. La punition allait être sans pitié même si ses dessous seraient encore en bonne état. Penchant la tête d'une côté, la jeune écolière voyait bien que le garçon commençait à devenir hystérique. Maintenant c'était la respiration de ce petit pervers qui était devenu rapide. Quel ironie, Akiza souriait. Un petit sourire mignon et moqueur, comme si elle pouvait lire dans ses pensées. Du genre, depuis combien de temps il fantasmait sur elle ?

*Q-Qu'est-ce qui se passe ? J-je... Je n'ai plus aucun contrôle sur mon corps ? Est-ce cela qui ce passe quand on vie cela ? Est-ce ça le 7ème ciel ? Si oui... Je n'aime pas du tout! H-Hein ? Q-qui est là ? Pourquoi fait-il si noir ? J'ai hâte de me changer, il a tout foutu mes vêtements... Je vais avoir un mal de chien à essayer de continuer en me cachant... Il disait qu'il avait vu les photos et ses yeux disait qu'il s'y pratiquait à... Ark! ça me dégoûte! Quel Connard!*

- Tu es seul qui a osé aller si loin envers moi! Toi! Putain de fils de pute! Quel Connard!

Le jeune homme avait reçu un puissant coup de pied sur sa cage thoracique, que maintenant on pourrait l'appeler un coup de pied dans sa cage thoracique. Le jeune homme avait cracher un énormément de sang. Ses deux compagnons retenu immédiatement la jeune femme en colère ,sa peau était devenu affreusement brûlante. Ceux-ci la relâcha immédiatement en hurlant de douleur. La chaire de leur main commençait à fondre. Une insulte sacrilège, l'étudiante était enragé. Ses cheveux se levèrent, lévitaient. Elle arrêta soudainement soudainement sa marche vers ce jeune voyou ensanglanté. Akiza se retourna vers l'un des compagnons de ce même jeune homme. Ses Sclérotique portaient une teinte de rose orné de ses Iris rouges. Le compagnon commençait à s'assécher face à ce croisement de regard. De la vapeur sortirent de sa bouche, ses yeux commençait à affreusement lui brûler jusqu'à temps qu'ils prirent feu. Le compagnon prit complètement feu, dans sa propre damnation, sa propre combustion spontanée. Tout à coup, elle se retourna de l'autre côté, là où se trouvait son complice. Celui-là aussi était paralysé par la peur. " Qu'est ce que tu es ? " disait-il sans cesse. C'était à lui d'y penser avant! Les iris d'Akiza se devinrent plus petits, le complice se mit lui aussi à s'enflammer. Zero témoin ; tolérance zero, brûle en enfer, on se reverra, se disait-elle, mais en tant qu'esclave. Son attention se retourna ensuite vers celui qui agonisait après avoir reçu ce violemment coup de pied. Se léchant les lèvres, se délectant de la souffrance infligé ce type. Là où la ténacité n'avait plus sa place. L'étudiant enragée s'approchait d'un pas morbide vers le blessé.

*Qu'est ce qui ce passe... Qui... Va là?  *

Akiza mit son pied sur la tête du voyou. Ses iris braqués sur celui-ci avec ainsi qu'un sinistre sourire. Ses yeux bougeaient, bougeaient. Elle semblaient possédée ou une bombe avait explosée. Elle avait incinéré froidement les compagnons et complice du voyou, no mercy! La jeune femme se pencha légèrement vers lui. Un léger sentiment de culpabilité ? Pas le moindre du monde, il l'avait cherché. Ce fut la goûte qui avait fait débordée vase. Les dés jetés, elle déposa un genoux au sol pour rapprocher le contact visuel. Le blessé tremblait de peur, demandant sans cesse se qu'elle était. Elle ria.

- Personne, je suis seulement ici pour offrir se que tu désir depuis tant, dit-elle en se levant, tu voulais voir ma chatte! Tu seras servie! Par la Reine des damnés! Tu pourras mourir en peine! Connard!

* Connard!*

Finit-elle ses dires avec fracassant sa tête sans cesse avec son pied. Violement, comme une bête enragée, violement comme une sorcière sanguinaire, quelle magnifique monstre que voilà... Le désastre réel, le sang, il y en avait partout. Sur le pont, les remparts en plus que l'eau qui passait sans arrêt dessous prenait une teinte rouge écarlate. Son crâne complètement fracassé, démolie à coup de pieds. Le voyou n'était plus blessé, mais les dernier spasmes involontaire démontraient l'abandon des nerfs. Akiza se mit tout à coup à sourire tout en retirant son pied des restant ignoble du crâne. Qui l'eût cru, il possédait bel et bien un putain de cerveau, se disait-elle. Ses chaussettes étaient maintenant complètement  foutu. Un petit rire macabre. Sa longue chevelure se retournèrent, suivant les mouvements de la sorcière. Rattachant les boutons de sa chemise avec ce même sourire satisfait.

Hello Darkness ~ ❤

Entrant finalement chez elle. Sa main contre l'une de ses yeux. Elle avait un affreux mal de tête. Alors que l'un de ses yeux était encore rouge et l'autre jaune. La jeune étudiante n'avait plus aucun souvenir. Tout se qu'elle se souvenait c'est que le mec avait entré ses doigts et ensuite : brouillard. Qu'est ce qui c'était passé ? Je pourrais dire que c'était son quotidien, mais nah. Ce serait mentir. Rien ne pouvait battre ce jour où le plaisir de tuer l'avait emporté. Ses pas ensanglanté et affaiblie, elle se dirigea vers sa chambre. En tout cas, elle essayait. Alors qu'elle entendit du bruit. Un danger ? Troublée, la jeune écolière se retournant. Sa mère l'interpellait. Sa mère était proche de l'hystérie et accouru vers sa jeune fille. Lui demanda se qu'il s'était passé, Akiza lui raconta tout. Hors de question d'appeler... Pourtant... Il n'y avait plus une trace... Quelque images avaient restés dans son esprit.

Son sourire, ses mains au dessus de la dépouille immobile de ce jeune connard. Il prit feu ainsi l'odeur morbide du sang sec. Le corps incinéré semblait être absorbé par les mains de la sorcière enragée. Son sourire devint sadique. Il n'y avait plus aucune trace du corps inerte du jeune homme. Jugé d'errer dans les ténèbres.  Son regard et son sourire redevint neutre.

Allô ténèbres, sa destiné basculait doucement vers le chaos. Elle enleva sa main de son oeil. Sa mère vit l'Iris de couleur rouge, alors que l'autre était redevenue jaune. Les deux femmes ne comprenait rien à se qui se passait. Comment changer la couleur des yeux ? Et même à cela. Comment elle avait changer sa couleur d'elle-même? Akiza senti la main de sa mère contre sa joue. Maintenant elle comprenait se lien : les sacrifices que les mères peuvent faire pour leurs enfants, la compassion, l'amour d'une mère... Allo ténèbres,  une larme s'échappa de chaque yeux. La jeune femme sanglotait.  Son destin chaviré. Comment pouvait-elle continuer à vivre ainsi ? Alors qu'un tout allait se savoir. Tout venait à se savoir.

Un vacarme assourdissant, le beau père d'Akiza arriva dans le décors. Beuglant toujours les mêmes conneries. Ce type était toujours aussi bruyant et saoul. Sa bouteille d'alcool en main. Sûrement du fort, encore. Il prit un gorger avant d'hurler ses balivernes. Ces dires n'avaient jamais de sens. C'est alors que comme il n'avait pas d'attention, il s'approcha comme un taureau. La respiration de l'étudiante stoppa net. Le saoulons agrippa la mère d'Akiza. Cet dernière cria, les larmes aux yeux. Encore un événement merdique dans une journée merdique! Ses yeux impaires souillés de larmes réclamait la chaleur de sa mère. Le beau père, violent, commença à frapper sa maman, brutalement. Il lança ensuite toute sorte d'injures. Akiza se plia, se blottie dans ses bras face à ce cauchemars. Elle n'avait qu'un souhait, que se soit seulement un rêve... Si brutale, il ne semblait pas retenir ses coups. Allo ténèbres, la victoire lui revenait et de loin. Ténèbres avaient gagné à gâcher sa vie, basculé son destin au point de pratiquement oublié son propre nom... Elle hurla à nouveau:

- LÂÂÂÂÂÂÂCHE-LÀ!!

* Ce monde n'est que mon putain de terrain de jeu... J'ai eu foi et j'ai eu raison la dernier fois... De tout abandonné. Rien ne change avec le temps. C'EST TOUJOURS LA MÊME MERDE!*

* Qui es-tu ? Qu'est-ce qui se passe... Hey! Attend!*

L'autre iris devint rouge, Akiza perdit encore une fois. Ses yeux perçant semblait transpercer l'âme de son beau père, qui lui, s'était retourner lors du hurlement. L'étudiante en sanglot pencha la tête d'un côté, avec ce même sourire satisfait. Le vieux semblait être soudainement prit d'un malaise. Il commença à tousser, mais à tousser violemment. Du sang sortait de sa bouche. De plus en plus, ses dents se mirent même à tomber. Une, deux, trois... Dix-neuf, Vingt, Vingt-et-une... Trente, Trente-et-une et la dernière. Plus une seule, il en avait plus un seule. Son regard perçant toujours braqué telle une mire. Akiza se mit tout à coup à avancer avec ce même regard paralysant. Comparable à celle d'une gorgone, ses cheveux bougeait à ce même rythme. L'homme reculait avec peine et misère ; alors qu'Akiza gagnait du terrain. Au pied du mur, la sorcière s'arrêta devant lui. Le destin lui avait fermé la porte au nez ; alors que celui de la jeune fille avait littéralement chaviré. Croisant ses bras sous sa poitrine, celle-ci n'était plus soutenues, elle s'accroupit face à lui, se foutant littéralement que ses dessous avaient été détruit. Anyway, il allait mourir... Agir sur le moment présent.

Après un sourire, un peu plus joyeux et sincère, Akiza se releva. Joyeux et Sincère, pour démontrer son cynisme et son sadisme. Ses mains laissaient évacuer une petite vapeur. Sa voix doublé pour celle d'une Inconnue. - Depuis ce jour où tu as frappé ma mère, Je ne pouvais pas attendre ce jour où je pourrais te regarder brûler. J'ai toujours été impatiente tu sais. Ajouta-t-elle avec une allumette en main. Avec cette même allumette, elle y mit le feu à cette petite partie rouge.

L'amulette s'envola vers l'homme traumatisé. Tellement saoul, cette odeur immonde, que son sang brûle jusqu'à la dernière goute, il avait assez d'alcool pour devenir une torche humain sans carburant. Comme elle le pensait, la combustion n'avait pas prit grand temps que l'homme prit feu. Ses cries tel un hymne, la voix de l'homme résonnait, ses paroles devenaient " Hello Darkness ". Le sol prit feu ensuite des murs. La jeune demoiselle se rendit se rendit devant le miroir dans sa chambre.

Lueur orangé. Ce matin, tout avait commencé ici, et tout finissait à ce même endroit. La braise volatile, Akiza se retrouvait devant son démon, mais cette fois, c'était bel et bien l'étudiante qui se trouvait dans le miroir. Encore ce sourire malicieux et satisfait, Elle haussa les sourcils avec arrogance. Ce sourire démontrait la défaite. Pour un rite, nul besoin de bougie si c'est pour invoquer son propre démon. Le miroir se fendit. La demoiselle se retourna pour se mettre a genoux. Enlevant le tapis, là où un pentagramme y reposait. Ses vieilles habitudes antérieur refaisaient surface. Ses sombres ambitions... Réclamant les ténèbres. Bandant ses yeux, maniant une dague occulte, Akiza offrait ses âmes jeunes à qui bon l'entendaient...

- J'invoque ton nom... Entend moi, revient vers moi... Tu me l'as promis! J'invoque ton nom... Dit-elle en offrant son sang et en planta la dague au sol, revient vers moi... Tu me l'as promis! Allô Ténèbres, écoute moi... Revient...

Sanglotant, l'un de ses iris redevint de sa couleur naturel. Alors que la maison était en train de brûler et complètement disparaître. La fumée noir tachait la peau de la sorcière. Qui attendait-elle ? au centre de ce pentagramme. Qui appelait-elle ? au centre de ce chaos. Quelle était-elle cette promesse, si sombre. Pourtant, ce feu ne lui faisait rien, étrangement. Alors qu'il n'y avait plus rien de vivant cette maison. De nouvelle victime funestes, Ténèbres sortaient gagnant. Ses larmes tombèrent au sol, près de sa main ensanglantée. Ses pleurs envers ce carnage ou autre... On pourrait croire tout à la fois. Sa vie avait prit un autre chemin funèbre et sinistre. Levant ses yeux impaire dans ces flammes pratiquement infernales. Une ombre se tenait devant elle. Cette ombre était comme son arc-en-ciel noir. Comme sa lumière noir,  le maitre de son terrain de jeu malicieux. Ses mains au sol se ramenaient vers ses genoux ensuite se glissaient vers ces cuisses. Cette ombre s'approchait de la jeune femme. Une main se posait sur sa chevelure de couleur cramoisie. Cette main aux allures démoniaques, longues griffes, couleur sinistre, mais Akiza ne pouvait pas se faire d'idée sur cette ombre.

- Mon Roi* Tu es revenu ?  

Hello Darkness, alors qu'elle disait adieu à son ancienne vie. Bienvenu aux péchés. La jeune femme baissa sa tête. Ne disant pas un seul mot... Alors que les flammes effaçaient toute trace de souvenirs dans la maison. Victoire est tienne, se disait-elle. Déposant la dague au sol. Ses larmes tombèrent, encore une fois. Suppliant sa mère de la pardonner, suppliant la justice de la pardonner... Suppliant ses valeurs de la pardonner. " Pardonne-moi, mère, je n'ai pas pu te protéger "... Ses yeux impaires se levèrent face à cette silhouette sombre et inquiétante. Elle ferma les yeux doucement par la pression de sa peine.

* * *

*Hello Darkness, mes meilleurs amis ne sont plus. J'ai tout tentée pour les protéger. J'ai offert mon sang pour les ramenés... J'ai tentée de trier mes couleurs, mais j'ai remarqué... Que mes qualités n'étaient que noir. Je ne fais que perdre, ainsi que mes amis ne sont plus... Je ne souviens, de rien... Pardonne-moi, mère, je n'ai pas su te protéger. J'ai perdu, victoire revient aux ténèbres...

Je me rappelle de ce jour macabre... Personne ne faisait attention à moi. Comme si j'étais un monstre. Les monstre se cache sous votre lit et mangent vos pied. Moi je ne voulais que le respect. Alors que le sang coulait le long des murs de l'école et que ma hache au creux de ma main, je me penchais sur l'idée de ne laisser aucun témoin. Je n'avais plus rien à perdre. Mes amis, ma famille, un saoulons de beau-père qui voulait seulement ma mère pour le sex et moi, pour l'harcèlement obscène, jugé ainsi Sexuel. Massacrés. Pluie diluvienne et orage, pentagramme au sol. Je me mit à acclamer: Justice si elle existait... Je me rappelle mon Roi. Qui m'a enfermée... Ici... ? *


* * *

Que la vie soit Rose ou Noir. Alors que cette jeune demoiselle aimait beaucoup le rose devint soudainement si sombre et Noir. Cherchant son arc-en-ciel noir, sa lumière noir, un Roi déchu. Tout cela montre que la vie chacun peut basculer d'un jour à l'autre, d'un moment à l'autre. Une minute passe et à l'autre on souhaite la bienvenu aux ténèbres, votre nouvel ami. Celui-ci couvrant vos yeux d'un voile de vérité oublié. Ce voile dévoilant les subterfuges les plus incertains. Alors, oui, Allo Ténèbres, ne trichez pas. À ce jeu malicieux, il est meilleur que vous, même voilé. Avarice et Luxure mène à un avenir incertain. Menez vos main ensemble et priez pour celui que vous vénérez. Suppliez pour vous faire pardonner vos tricheries. Soit, Bienvenu aux péchés...!

Like a Moth to the Flame;
Hello Darkness;
Fin

Suite : Beginning of the End

Souvenir débloqué: Hello Darkness ~❤️







Fragments de Souvenirs ❤️

Les souvenirs sont les moments les plus importants de notre vie









¦ -     Hello Darkness ~❤️
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