{- Plus de personnes ont été portées disparus mystérieusement.. }
{- Des incendies sont déclenchés pratiquement chaque jour, les autorités soupçonnent un potentiel pyromane en série }
{ - Des corps mutilés retrouvés...
{ - Des membres humaines complètement déchiqueté...
{ - Des symboles...
{ - Des morts... Incantation... Meurtes occultes... Sacrifices
{ - Ils pensent que ce sont des offrandes...
{ - Leur coeur carrément extirpé...
{ - Les incendies ne serviraient que pour terroriser }

- Et si vous avez peur pour si peu, Khé ha ha!! Croyez aux monstres, HA HA HA HA HA!!

Même les médias ne pouvaient pas faire redescendre le niveau de terreur dans la capitale. Selon le rire de la princesse, le peuple n'avait rien vu. Tout ces mouvements agissaient comme un signe annonciateur. Comme une prophétesse d'armageddon, mais qui agissait pour sa propre voix. La journaliste ne se sentait pas très rassurée, car elle savait que certains de ses collègues avaient disparus. Et cela, faisait parti du jeu de la sorcière. TOUT faisait parti de son jeu. Avancer ses pions stratégiquement, mais pour le moment, Akiza agissait par elle-même ; pour faire croire le retour du culte d'Allithna. Des symboles, des sigiles et un chiffre culte. Toutes les meurtres ressemblaient à des offrandes, comme elle le prévoyait.

La pyromane aurait très bien pu s'en prendre aussi à la cathédrale, mais le problème était que seule Kaiza fut assez dérangée pour essayer de l'incendier. Par conséquent, un justicier un peu trop malin pourrait faire le rapprochement un peu trop facilement. Et imaginer un éventuel retour de Kaiza au lieu du culte qui comportait beaucoup plus qu'une seule personne dans le passé?

Beaucoup de chose s'était passé pendant qu'elle s'était retirer. La jeune princesse s'était refermée sur elle-même, mais par la même occasion, son côté sociopathe s'était beaucoup développé. Akiza s'était acceptée étant Kaiza, la reine infernale. Pendant ce 18 mois, le seul contact du monde paranormal fut son héraut, Ranulf qui lui appartait des nouvelles de toutes sorte. Par la même occasion, cela pouvait maintenir sa sécurité contre les autres royaumes stables. Par chance, aucune attaque n'avait eu lieu durant ces 18 derniers mois.  Les dieux semblaient en plus du côté de la princesse, car Ranulf pouvait voyager librement dans le royaume Runique autant que dans royaume des humains. Ce héraut lui était des plus utiles pour ses fourberies.

Assise sur son sofa complètement obnubilée par la réaction des médias face à toutes les tragédies qui survenaient les unes après les autres. La sorcière ne pouvait pratiquement plus se contenir. Sa joie transcendait sa malice même. Son stratagème l'amusait au point qu'elle jubilait de la confusion auquel ils se confrontaient. Son sourire victorieux démontrait bel et bien le fait qu'elle prenait tout simplement tout cela pour un jeu. Assise en indienne où ses mains se trouvaient dans l'espace créé par ses jambes, Akiza se tourna ainsi vers Ranulf avec un air complètement calme et un petit sourire.

- Qu'ils sont cons! Qu'est ce que tu disais ?

Ajouta Akiza comme si son messager dérangeait la jeune femme. On ne savait combien de fois il avait répété son message, tout ce qu'on pouvait savoir, c'était que ces nouvelles furent au départ enregistré et qu'elle faisait jouer cette partie en question en boucle grace au " Repeat " donc la sorcière l'interromptait sans cesse. De plus, l'écran de son autre téléviseur, l'une des quatres écrans montraient un couple en train de fourniquer grace aux cameras cachées dans la de ses  chambre voisins. Cet accouplement fit éclater la princesse de rire, car ces gens n'avait plus aucune intimité et qui plus est, ils n'avaient même pas trouver ses caméras. Était-elle devenue sans coeur ?

*{ } désigne la télévision.

À travers les dimensions, les démons rampent à leur victime. La main clownesque du diable peut se cacher n'importe où. Une friandise qui peut s'avérer être une tragédie. Alors qu'il te faisait accroire à la magie!! Tout se tourne en moquerie. Quand nous accordons la confiance à n'importe qui. Les prédateur chasse de nuit. Un seul coup suffit : Taste the glory, taste the victorie ; Taste the fuckers, taste the murder. La confiance, la main du diable à la friandise magique menant à un destin tragique.

Seulement vêtu d'un long chandail, depuis quelques temps, Akiza avait pris cette habitude. Que cette habitude soit bonne ou non, elle s'en foutait largement. Tant qu'elle était confortable dans ce qu'elle portait, elle se foutait de l'avis cette autre. Peu importe ce que les autres diraient, Akiza le ferait pareil de manière deux fois plus déplacé. Pour la princesse, ces motherfucka n'avaient rien à dire, ces motherfuckca n'avaient rien à ajouter, ces motherfucka n'avaient rien à contredire ses choix.

Une éjaculation dans sa bouche venant d'un de ses testeurs, complètement défoncé par sa drogue, du à une fellation, Akiza essuya sa lèvre inférieur par la même occasion de croiser le regarde de Ranulft. La caméra semblait jouer un rôle malsain pour donner de sinistre idées à la princesse sachant que le fameux testeur n'avait plus pour très longtemps. Sa drogue était trop puissante et la chimiste le savait. Pourquoi elle ne baissait pas la dose ? Seulement parce que tout ceci l'amusait sournoisement. Sa drogue n'était pas encore insidieuse, elle dégageait toujours cette immonde odeur de sperme et elle n'était pas capable la camoufler. Ce détail lui échappait complètement, et cela, la mettait hors d'elle.

Comme si elle avait toujours besoin de lui... Oui! Son odorat lui pouvait être utile autant que son agilité. La confiance entre Akiza et Sæline était loin d'être harmonieuse, même si celui-ci lui disait vouloir faire d'elle sa reine. Ranulft avait déjà fait ses preuves - Tant et aussi longtemps qu'il ne mourrait pas - la confiance n'était pas extraordinaire, mais assez pour lui faire part de ses plans. Recouvrant son épaule, l'insidieuse princesse lui répondit.

- Ah oui, ça me revient. J'aurais besoin de toi, bien sûr. Tu es le seul capable de contrer ces motherfucka qui tentent toujours de manipuler les citoyens : Je parles des médias, qui vont tôt oi tard m'envoyer leur garde. Ce jour là je devrai être prête. Ce bloc m'appartient maintenant, il est comme mon château, même si ce quartier est paumé. Mais si je peux réussir à les manipuler, je goûterai ainsi à la victoire!

Ensuite, la princesse se repositionna sur son sofa à quatre pattes, comme un chat. Elle voulait se donner un genre, mais aussi, elle espérait probablement influence la réponse de son héraut en agissant un peu comme un chat. Ne se préoccupant pas de son accoutrement ni de son décolleté qui tombait, Akiza voulait seulement des réponses. Des réponses qui, selon elle, allait lui faire goûter la victoire.

- Aussi, tu es l'un de ceux qui peut aller et venir comme tu le souhaites dans le Royaume Runique. Si tu pouvais surveiller Sæline dans ses faits et gestes tout en essayant de trouver se qu'il préparé. Cela me m'aiderait énormément ~

Comment pouvait-elle lui dire son but, mais sans trop en dire... Ses ambitions devaient rester secrètes , même pour lui. Parfois, il valait mieux ne pas trop en savoir. Cela permettrait en outre d'éviter des danger inutile pour tout les camps, peu importe dans quel camp se trouvait Akiza et Ranulf. Mettant ses doigts sous son menton, la princesse hocha quelque peu ses épaules avec un petit sourire mesquin pour ensuite se repositionner sur son sofa. Pour ne pas trop perdre le contact trop longtemps, la sorcière se tourna à nouveau vers son héraut en mettant ses mains derrière sa tête. Ce petit sourire n'allait manquer en personne alors qu'elle croisa ses jambes.

- Rien en particulier, je m'amuses c'est tout...  

Un jeu malicieux où les civiles jouaient le rôle de pion et que les médias jouaient le rôle des  tours. Les médias représentait pas l'as, mais le joker pour la princesse. Ce titre attribué n'était pas un compliment en soi. Le titre accordait à ce mouvement le rôle de bouffon selon elle. Trouver un moyen de déjouer l'information ( ce qu'ils font déjà ) allait donner un bon coup de pouce pour ses prochains " tours ". Enfin quelque chose d'intéressant risquait d'arriver prochainement.

- ...Disons que - qu'il y a quelqu'un - que je veux éliminer.

Son attention se tourna ensuite vers son téléviseur où les nouvelles jouaient et rejouaient en répétition. La panique augmentait de jour en jour et personnage de savait qu'est ce qui se tramait dans la capitale. Les indices étaient si peu présent que les autorités ne pouvaient pas mettre de lien entre eux.

- Il y a dix-huit mois, lors de cette fête, Allithna m'a fait quelque chose et je suis sûre qu'elle ne voulait pas " m'aider ", mais plutôt réveiller Kaiza.
Ajouta-t-elle en se retourna de nouveau vers son héraut.
Maintenant que j'ai ce nouveau pouvoir de luxure que j'ai prise de Kaguya grâce à la clé, je peux m'amuser avec mes victimes. Je sais que je ne le maitrise pas comme Kaguya, j'ai besoin de drogue pour gagner du temps, mais c'est efficace... Bon! Assez parler.  

La princesse se leva immédiatement et se changea pratiquement instantanément. Vêtue de sa robe noir et ses collants de même couleur. Elle enfila une paire de gants noire, celui-ci de son testeur mort plutôt. Télécommande en main, la télé maintenant éteinte. Lançant la télécommande au visage de la dépouille qu'elle devrait le ramasser plus tard, la sorcière se dirigea ensuite vers un armoire pour prendre quelques échantillons. Elle n'était jamais trop prudente ou plutôt voulait seulement s'amuser plus long. Avec un élastique,  Akiza attacha en demi queue de cheval, laissant ainsi toute la longueur de sa chevelure couvrir une partie de son dos. Devant ma porte :

- Allez, tu viens ou pas ? Je te préviens, si je sors et que tu es encore ici, tu as intérêt à être parti quand je serai revenue de faire mes courses. Il me manque du lait.. Ah pis tu t'en dois sûrement t'en foutre de ce que je manques!  

Concerner par ce qui lui manquait ? Cette phrase déconcertait Akiza d'une manière si étrange. Pas seulement cela, mais aussi sa citation envers la dualité qu'elle vivait. Son héraut disait qu'il allait l'aider sur ce point. La princesse perdit pied au point de poser sa main sur son mur. Comment avait-il fait pour l'atteindre à ce point ? Son but ne devait pas lui échapper à cause d'un petit moment de faiblesse. Après quelques respirations profondes, la princesse se redressa pour se mettre en marchant. Tout était verrouillé, tout verrouillé dans ce quartier paumé était la clé de la survie. Sans quoi, n'importe qui pouvait attaquer n'importe qui.

Hors du bloc appartement, Akiza mit ses mains derrière sa nuque pour regarder les environs. Son héraut lui avait dit qu'il allait la suivre à deux pas ou presque. Sur cela, lors de sa demande de service, il n'avait pas menti. Elle scrutait les environs en cas. Rien, la voie semblait silencieuse pour les rares fois. Avec un petit sourire à Ranulf, comme si Akiza était redevenue elle-même. Par la suite, la jeune femme continua sa marche vers le depanneur le plus près pour aller acheter l'article qui lui manquait.

Même si le dépanneur était petit, cela n'empêchait pas à la princesse ne regarder chaque item. Sa véritable venue semblait avoir complètement quittée ses pensées. Les friandises, les barres de chocolats, les petits gâteau ( ce qu'elle préférait ), Akiza était légèrement pencher vers le contoire. Sachant le fait qu'elle ne pouvait pas tous les prendre malheureusement.. Petit gâteau ou barre de chocolat. Petit gâteau ou barre de chocolat! Le choix le plus difficile de sa vie!!  Jusqu'au moment où le vendeur l'interpella de manière douteuse, limite perverse.

Akiza levant ses yeux, rouge, menaçant. Finalement, son choix était fait. Barre de chocolat en main, la sorcière la posa sur le comptoir. Le lait, oui, le lait! Akiza se retourna pour aller le chercher, mais non.. Comme un poignard, la sorcière utilisa la barre de Chocolat réfrigérée pour poignarder le vendeur avec frénésie. La point brisé comme un pieu, cela servirait de leçon à ce vendeur et ses mauvaises idées. Son sang se versait sur le plancher sous le regard avide. Son sourire satisfait au goût sucré de sa barre de chocolat.

Avec sa délicatesse, Akiza lécha le sang qui souillait sa sucrerie. Selon elle, ce n'était qu'un petit pépin. Se redressant derrière le comptoir, la sorcière posa son coude là. Sa joue contre la paume de sa main. À l'aide de ses canines, un immense morceau de chocolat se brisa, une partie tomba sur le corp inerte, l'autre complètement engloutie. Derrière ce sourire, une soif se cachait. Derrière son regard avide, une colère immense la rongeait. Un pion venait d'être tassé, bientôt tous passé.

La princesse se pencha à nouveau vers l'avant pour ensuite y déposer ses seins, même s'ils étaient petits, sur la surface du comptoir. Littéralement couché à plat ventre sur la surface, sa tête appuyé sur son bras. Ramenant sa main vers elle laissant une traîné rouge souillé au passage. Ses jambes ne bougeait qu'à peine, son pied donnait de petit coup à la base et au visage de sa victime. Par chance, ou plutôt elle espérait, qu'il était mort véritablement, car où la sorcière se trouvait, le vendeur avait l'angle parfait pour voir ses lèvres intimes . Akiza posa ensuite sa tête sur son autre bras pour finalement interpeller son messager :

- Heureusement que tu es là, j'avais complètement oublié le lait. Comme je suis bête...

Se dressa pour ensuite embarquer sur le comptoir du vendeur. Ses semelle laissait librement ses empreintes souillés sur la table de travaille. Grand respect. La princesse s'approcha en faisant gaffe de ne pas tomber, mais aussi son visage de celui de Ranulf pour terminer ce qu'elle disait.

- ...Que je ne suis nulle comme patronne n'est-ce pas? Tu sais, je me suis toujours demandée..

Ses lèvres s'approèrent du cou de son héraut. Ses canines se montrèrent pour s'approcher de sa peau où se trouvait la jugulaire. Sa langue sorta pour ensuite laisser une traînée rougeâtre sur le cou de son messager.

- Ce que tu goûtais. Plutôt bon. Qui préfères-tu entre Kaguya et moi ?  

Assise positionné comme une princesse sur la table de travaille du vendeur décédé. La sombre princesse attendait la réponse. Il restait seulement à savoir s'il existait une bonne réponse à cette question.

Comme quoi elle s'attendait à une réponse semblable. Ce n'était pas une mauvaise chose, mais cela prévenait la princesse que son héraut était facile à lire, comme un livre ouvert, en tout cas, lorsqu'il était question de son dévouement envers Akiza. Même si le fait qu'il avait porté le corps dans un frigo la faisait sourire avec des mains jointes ; c'était trop de pouvoir pour elle. Le fait que la personne suivait toujours Akiza devenait trop dangereux, autant pour lui que pour elle. C'était sa véritable raison de sa venue dans ce dépanneur. Certes, elle manquait du lait, mais voulait éviter de le mettre en danger. La suite du stratagème pouvait maintenant commencer. Voyons voir.. Le contenu du livre.

Toujours assise sur le comptoir, la sorcière attendait patiemment. Une fois que le tout fut terminé, Akiza se laissa tomber au sol en n'oubliant pas de laisser un petit cadeau sur le sol. À l'aide de ses pieds et du sang de sa victime, Akiza dessina un Sigil, celui qui la " représentait ", mais nul ne le savait bien sûr. Pour plusieurs et surtout les médias, ce symbole symbolisait le charabia. Ranulf avait le lait, Akiza avait une tablette de chocolat. Sa barre ? Elle laissait fondre celle-ci sur le plancher. Décidément, la princesse ne raffolait pas de cette saveur avec arachide. Se retournant vers son héraut, ses yeux venaient de reprendre leur couleur originale. Un sourire fier, fier de lui, fier de ce qu'elle venait d'entreprendre, fier de sa stature. Très soudain, la princesse s'approcha de Ranulf pour prendre sa main afin de la déposer sur son sein gauche. Dépourvu de soutien gorge à cause de leur grosseur, la sorcière ne semblait pas inconfortable de cette situation.  

- Autrement dit, tu es mon héraut avant d'être Ranulf, lui répondit-elle en faisant une petit pression sur som sein à l'aide de sa main. Allez, tu ne peux pas me dire que c'est plus agréable que ceux de Kaguya  

La prochaine destination n'était pas plus anormal. Bien sûr, Akiza devait faire à attention pour ne pas être vu avec Ranulf, qui, pouvait être potentiellement complice. Un simple parc après avoir ramener le lait, Akiza était maintenant assise sur une balançoire. Celle-ci la berçait doucement. Cela l'aidait à réfléchir pour la suite des événements. Qu'avait-elle en tête finalement ? Après un moment à y penser, la jeune femme sauta en bas de la balançoire ( nous l'avons tous fait quand nous étions jeune ).  Après quelque descente dans le toboggan, Akiza reprit son sérieux. Cacher sous les plateformes de jeux et assise au sol.

- Pour la suite, on devra être séparé un moment. Si les gens me voit toujours avec toi, ils vont vite se dire que tu es mon complice. Cela risque de te mettre en danger et moi aussi. Par conséquent, dès que tu auras un moment, tu pourras aller t'amuser avec les médias. J'ai une contacte capable de jouer avec " eux " disons.    

Sur ces mots, Akiza renversa ensuite Ranulf sur le dos pour embarquer sur lui. Ses Iris redevenus rouge.

- Si tu échoues, je ferai en sorte de couper tout les liens qui te lient avec Kaguya, tout! et tu ne seras qu'à moi!
Je ne laisserais rien se mettre à travers ma gloire, il n'y aura pas de deuxième chance.

C'est en retrouvant sa gloire qu'elle aura l'impression de vivre à nouveau. Un savoir et un règne immortel la montait jadis au sommet. Ce jour fatidique où elle était devenue déchue pour sauver celle qu'elle aimait, mais à présent leurs perspectives étaient diamétralement opposé, mais leur but de vaincre Allithna demeurait le même.

La Grande Reine ou la Reine Folle ? Comment osait-il se permettre de la confondre ainsi. Ces sept mots l'avait frappé comme une puissante massue au visage. Acculée au pied d'un mur entre elle et elle. Qui disait qu'elle voulait devenir Reine ? La réponse se trouvait peut-être dans les yeux de son héraut. Peut-être que oui, il l'a voyait sûrement comme une futur Reine. Ses yeux turquoises comme du topaze cachaient plus de réponses que de questions. La reine ou la folle, pourquoi les deux.. Non, il avait raison, comme l'enseignement qu'elle-même lui démontrer, mais il savait qui y était ; Akiza, intouchable.

À plat ventre, la princesse se mit à quatre pattes avec un petit rire moqueur. C'était à peine si elle s'en léchait les lèvres de cette situation. Il reculait, elle avançait toujours à quatre pattes, Akiza ne fait que se plier à ses formalités de " chat ", quoi que cela pouvait être aussi une insulte contre la race de son héraut. Son sourire malicieux où ses surplus de canines se montraient. Son messager avait été le premier à voir ses nouvelles canines et maintenant, il les voyait à nouveau. Son sourire cachait aussi une réponse pour pourrait aussi le confondre, mais Akiza la gardait pour elle. La sorcière se contentait seulement d'avancer encore une fois.

- Awn que tu es mignon quand tu es en colère mon beau, Ranulf. Si tu n'aurais pas tant d'intérêt pour une autre, je te mangerais comme cette tablette de chocolat

Honnêtement, Akiza ne savait pas ce qui lui avait pris. Depuis quelques temps, elle n'avait plus aucun contrôle sur elle. Comme si elle faisait qu'un avec son alter-ego. En même temps, ce n'était pas une mauvaise chose, Akiza s'était toujours tellement trouvé faible qur frapper à son tour lui faisait un grand bien, mais s'en prendre ainsi à Ranulf..  La jeune femme n'avait aucun remord pour les victimes, le vendeur par exemple, car elle savait que certains le méritaient. Beaucoup d'entre eux étaient des escrocs de la pire espèce. D'autre, seulement des petits pions pour s'amuser. La confusion la plus totale, mais elle voulait accomplir son plan, Akiza devait mettre sa confusion de côté.

Assise sur son sofa en ne disant rien. Depuis leur arrivée, la jeune chrysalide ne disait rien et fixait les écrans de ses téléviseur. Le silence de mort, froid et presque lugubre. La tension si pesante que même une mouche aurait du mal à voler. Akiza avait un peu de remord pour ce qu'elle avait fait à messager qu'elle n'osait même plus croiser son regard bleu turquoise. Sa présence gênait la jeune princesse au point de se demander même si elle méritait d'un tel héraut. Confusion, confusion, confusion. Un chrysalide. En quoi voulait-elle évoluer ? Écarlate comme les flammes d'un coeur en feu. La princesse leva ensuite la tête lorsqu'elle entendit la porte de son frigonse refermer. Il revenait.

- M-merci, je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Je suis une piètre princesse, comme tu peux le voir. À présent je ne peux même plus te regarder dans les yeux sans avoir cette image où tu as faillis toucher mon sein et je t'agresses. Ma volonté de vaincre m'a monté à la tête.  

Malgré qu'elle l'avouait, son plan devait continuer à se dérouler. Son plan comme une locomotive en marche, il était trop tard pour reculer. La princesse frottait ses mains l'une contre l'autre en bougeant ses épaules pour réfléchir à la suite de son plan. Un léger blanc de mémoire, cette confusion l'avait beaucoup perturbé, mais à présent elle se sentait en paix. La question était combien de temps. Avec un force considérable, la princesse leva ses yeux rose ( plus magenta ) à son héraut.

- Je suis désolée, je te le jure. Je vais... Essayer... De me contrôler.

Dit-elle avec un léger mal de coeur.
- Cette personne que je t'ai parler, mon " contacte " sera Kaguya. Elle ne sait pas que je l'ai contacté. J'ai utiliser un appât. Il ne le sait toujours pas, mais ce type se noie dans le péché de la Luxure en faisant des saloperies dans le dos de son épouse. Ce qui attire grandement Kaguya.
Kaguya est une succube, coucher pour tuer ce type sera plus fort qu'elle... Comme si quelqu'un chose la guidait. C'est une chose que je veux savoir, après, sur le fait, tu devras la dissuader de tuer le type. C'est là que tes talents de machins-contrôleur-de-médias entrera en jeu. Quand tout cela sera fait, nous pourrons retourner dans le royaume Runique toi et moi. Écoutes ces prochains mots attentivement : Blâmes le royaume infernal, les démons existent.  

Finissant son monologue, la princesse s'appuya contre le dossier de son sofa en mettant ses mains derrière sa nuque et croisa les jambes.

- Une fois le royaume blâmé, la graine du chaos sera ainsi semé dans le coeur des humainsnet voudront se venger des démons. Le plan n'est pas infaillible, ce n'est qu'un plan-leurre de toute façon.
Tu as faim ? Car nous commençons après le repas.  

Malgré tout ces désagréments, la jeune sorcière se comptait chanceuse que son héraut puissait lui être aussi fidèle. Un petit sourire s'esquiait démontrant son bonheur, finalement, le bonheur existait. Akiza pouvait avoir un sentiment d'être heureuse. Commençait-elle à ressentir de la confiance. Quelque chose se passait derrière sa poitrine. Indescriptible, comme si ce sentiment inconnu occupait ses pensées. Ce sentiment lui donnait envie de faire plus de plan. Ses yeux changèrent soudainement lorsqu'elle réalisa qu'en fait, oui, une confiance se bâtissait entre elle et lui. Restait maintenant à savoir en quoi serait bâti cette confiance mutuelle.

Une odeur délectable commençait à se promener dans son petit appartement. Cette odeur creusait malheureusement à l'intérieur de son estomac. Fermant les yeux pour sentir l'odeur, la princesse se leva pour s'éttirer. Ce geste signifiait qu'elle était fin prête à affronter son repas. La table magnifique qu'elle se croyait dans un restaurant ( pas les plus chics, mais ça faisait l'affaire ). Akiza se rendit à la table pour ne pas si asseoir. Même si ce repas lui creusait l'appétit, la sorcière détourna la table.

Soudainement, la princesse prit Ranulf dans ses bras pour le serrer fort contre elle. Sachant qu'il n'aimait pas trop se faire toucher, ce geste si soudain ne dura quelques secondes, mais profitait de ce moment. Le seul calin qu'elle recevait avait, c'était de la part de Kaguya. Sa chaleur, sa présence même fit sourire la princesse, elle n'était pas seule contre elle-même. Des pots étaient cassés, et Akiza devaient maintenant les réparer. Lorsqu'elle relâcha son héraut, elle lui fit une petit grimace mesquine en direction : la table.

Assise à sa table, la gourmande, comme elle l'a toujours été, goûtait à tout, absolument tout. De la viande au simple riz, ses yeux s'illuminait comme des étoiles, un autre moment de bonheur. Le seul problème, la gourmande mangeait tellement vite qu'on pourrait craindre qu'elle s'étouffe. Parfois, il était vrai qu'Akiza avait du mal à avaler et devait se frapper à la poitrine ou boire, mais restait en vie ( une chance ). La sauce rendait aussi la nourriture moins sec, elles faisaient leur part de chemin. En tout cas, la princesse mangeait sans vraiment se préoccuper de sa ligne, car elle faisait partie de la catégorie de personne " skinny " qui ne grossissait pas en une simple bouffée d'oxygène. Akiza se nourrssait comme une larve qui formait sa chrysalide.

- Woah!! C'était trop bon!

Après avoir rapporté son assiette, ses assiettes plutôt. Akiza vit aussi que des Cupcakes reposaient dans le four. La sucrerie qu'elle préférait qui eu pour conséquence un regard avare et malicieux de sa part. Comme quoi, elle n'allait pas lui en laisser un seul.

- Trop cool! Tu as même fait des Cupcake!! Tu sais que tu en auras pas un seul ?

Elle pourrait presque en baver. Rendu à le table une quinzaine de minutes plus tards, c'était à peine qu'Akiza en mangeait trois à la fois. Encore une fois, on pourrait craindre qu'elle s'étouffe... De bonheur. Le crème délicieux et tendre comme elle les aimait. Après en avoir une demi-douzaine, Akiza croisa ses bras sous sa poitrine ensuite ses jambes. Le repas fut somptueux, mais l'heure de passer au chose sérieuse commençait à partir de maintenant. La princesse fit apparaître l'un de ses feu follet, Flare.

Flare pouvait jouer avec l'intensité de sa flamme ainsi de sa luminosité. Cela allait aider Ranulf dans son périple, si on pouvait parlé de périple.

- Flare peut ajuster sa luminosité, suffit de lui demander. Il te suivra où tu vas et sera sous tes ordres, compris, hein, Flare ?

[color=#ff6600]- Compris, demoiselle Akiza.

- Pour la suite, jouons le même jeu de désinformation qu'eux, donc comme négatif, deviennent positifs. La vérité éclatera au grand jour et nous serons plus déjà plus ici... Sauf si quelqu'un trouve le subterfuge.


Pointes du doigt, une fois le pion tassé ; ils seront tous passé. Le pion maintenant au rang de reine ; une nouvelle étoiles est maintemant né. Il est l'heure du renouveau, pointes du doigts, une fois le roi tombé ; la partie est remporté. La reine est maintenant seule à avancer ; l'étoile commence à dévorer. Il est l'heure du renouveau, pointes du doigts les faibles et éleves-toi. La reine n'a d'autre choix de suivre sa propre voie. L'étoile disparaît sans laisser de trace..